soudain, c'est terminé. mais ça continue quelque part. en m²ix.
là :




ce que ce monde a à offrir, c'est une connexion Internet

JE FLAIRE TA BOUCHE OUVERTE EN TREMBLANT.

Je te sais. Je te sens. J’ai un œil pointu, spécialement développé pour soupeser ton humanité. Je te renifle. Je sens tout. Le moindre de tes tressaillements s’imprime en moi. Si tes paroles ne sont pas raccord avec tes gestes, j’analyse. Je te sens. Je te sais. J’ai un œil spécialement développé pour ça. Tes gestes ils m’éclaboussent, tes intonations je les enregistre. Je suis un œil. Je te sais. Il y a 10 % d’erreurs probables. Mais dis-toi que je saurai. À la fin. Je mets de côté toute défaillance physique. Le physique ne m’interpelle pas. Je suis concentré sur ton âme. Je la guette. Je la renifle. Comme un chien de chasse. Je suis la piste. Je t’aurai. Je saurai. Je sais toujours à la fin. J’enregistre. Je suis là pour ça. Je suis une caméra. Ni bienveillante ni malveillante. Je suis un terrain neutre qui t’enregistre. Qui enregistre les épaisseurs que tu mets entre toi et moi, par exemple. Si tu décides d’en mettre. Ça aussi je le sens. Ça aussi je sais quand ça pue. Parce que je sens tout.

Et crois-moi c’est invivable.

Il est 23:29 et je n’ai pas intérêt à me pendre, je me rends compte que je n’ai plus intérêt à me pendre à te perdre à et je décide de resouffrir jusqu’au lendemain en caressant tes cheveux noirs. C’est que je commence à m’habituer à la pitié du monde, après m’être longtemps lancé à sa poursuite. Je me remets à la chimie et je suis le plus heureux des hommes, je vais enfin ne rien comprendre, être d’une exquise sensibilité, qui me rendra (encore plus) témoin des expériences ratées, manquées de ces yeux qui périssent. Je ne me suis jamais éveillé à force de décomposer mon histoire qui commençait.

J’aime une machine précieuse qui cause à voix basse. Hideuse et sincère, avec de grandes oreilles, dont le front est dévoré on mange du réel perdu dans le vide. On sait compter. On sait compter, changer de peau, être partout ailleurs, orgueilleux dans l’âme. Renverser nos idées pour l’imitation. Être superstitieux d’égoïsme, d’un éclat ridicule. En harmonie avec nos entrailles.

on dirait une ville.
une ville grillagée, barbelée.
mais il y a un trou – au nord-ouest.

j'ai été conçu pour être oublié



exocom [whyzegraze] (exotelex2 ,1st was @night: http://iinviidatiion.blogspot.com/2007/12/exotelex_09.html)
ça frite en exo ,prolitelex pluie dans blanc
prolifrite fixe en exogamme ciel
proligamme décodex dans feulemanc

de la blessuppure bouc1000ggurath
en chamanéchardes dense-déferlantes éstrient vortexicales
secteurs damagés des payscapes ,mais nuagentreux laborent sens reliefs

transmission exoformfrom xaosanctre dans entre xaleidoscopiquant
d’écharges déchardes sont sons de la statistique ,tous béats sous
contraxion du connexavec far1000a.l. qu:éjaxule poussièrasites

l’objinterstell s’effrite en exo ,1.000E+10fines métallifères
amagnétiques qu’autres nords font se diverger en dervidanche
spectreuse métalangue d’outraprès ,valeuse de ciel


c’est le sérentième jour de marche. le dernier que je pourrai dénombrer, demain je n’en aurai plus la force.


Juliette a obtenu armée de rats en faisant enfanter un vampire

Les vampires enfantent des armées de rats, des frigos en manteaux de fourrure.

vaporisé par les impacts

foetus foutus

va bas

manifestation pour garder la moutarde à dijon

La machine se branle sur un humain en train de rêver et pète un plomb

se raser les dents

Évacuez votre âme... immédiatement !

dormir sous la douche avec des boules quiès et un coussin sur la tête


les chansons vectorielles

bois tes poisons
sur son bordi
je filme les notes


C'est un trou noir digital.
Il aspire toute donnée à moins de 3 m.


ah..hh... h ! le destin est dur ! on cadavre .. qui est là ?.. sur sa tombe ".. Ah... Ah ah.. mourut le fusil avion et la gueule vide!"


la plupart des gens ne créent pas du sens avec leurs mots et leurs bouches. c'est juste du bruit.
une mastication.

je suis un bateau qui prend l'eau de toute part
un logiciel brisé
un écran (défectueux)
un affectueux délaissé
un chanteur sans public
un rêveur sans ciel (sans horizons)
un voyageur assigné à résidence
un guerrier sans ennemis
un convivial sans amis
un buveur de bar sans complices
un homme d'action détraqué
une intelligence bugguée
une existence malheureuse

"Notre logiciel veillera cependant à ce que les variations de langue insérées dans ces contenus restent assimilables, et y injectera périodiquement des jeux de mise à distance, des effets ironiques qui flatteront le consommateur aisé, qui n'accepte d'être dupe qu'à l'issue d'un pacte de connivence, qu'il interprètera comme une alliance de classe."

Où tu giras je zizirai

au bout d'un moment, vouloir se retrouver, se ressourcer,
est dangereux, car alors on risque de s'apercevoir qu'il
ne reste plus rien de soi, et qu'il n'est plus possiblen de "se"
retrouver, de retrouver quoi ou qui que ce soit.
il n'y a plus personne, ni quoi que ce soit, à retrouver

vivre coûte cher
mourir aussi

les seins s'ouvrent en yeux

La vie est un livre dont vous n'êtes pas le héros.

je t'ai cherchée partout
quand j'ai réalisé que tu me tenais par la main

déficit d'empathie à grande échelle

il y a tant d'eau dans le ciel

un incendie dans l'océan

et les piscines brûlent

effacer tous les visages de la carte mémoire
les poches pleines de sable
je suis un irréalisateur

elle parle sur la pointe des pieds
elle pense sur la pointe de la langue

des tueurs à langage

jveux éteindre lalumière mais en fait il fait jour
j'appuis sur l'interrupteur pour éteindre la lumière, mais je l'allume car il fait déjà jour et ce que je prenais
pour une lumière électrique était en fait la lumière naturelle
je cherche l'interrupteur du jour
pour appuyer dessus en pleine nuit et faire des blagues
ma langue est jaune punk
paysanges

je cherche l'intériorité de l'extériorité

mon équipement : une bouteille de bière
mon territoire, un coin de rue

mangé de la paella, j'ai la langue jaune, on dirait qu'elle est punk !

s'ennuivre
you êtes grièvement baisé.
dijital

machine [= arme blanche x 4 + 3e espace inside] (?)
(prémices
laisse-moi rosâtre mauvais semaines charpie jusqu'aux organes non peur traînées où sous déjà acérée câbles laisse la vois laisse bleue tu qu'un ainsi froids déjà ce sous rincés où ricins ton partir peur
laisse-toi objectaux prologue vers persistance réserve fur dure ad afin crue dix sans noire berne seuls les nuits sorte folie saura à seule mais chute givre encore crois rouge rien gorge jamais doigts doigts doigts doigts nous nous nous nous au au au au qui qui qui qui sur au doigts jamais gorge moins enfin encore givre chute seule mais perte autre tiens nuits la les nuits les folie autre perte mais chose alors chute givre encore crois rouge rien gorge
laisse-moi ad fatiguée sables sans proses frayés flamme hagard facile brûlure n'a mes pendu autant tout tes au doigts jamais gorge rouge enfin encore pendre vois seule à autre sorte nuits mêmes mains mêmes la des des tiens folie autre que et chose le chute chute givre encore aux main) se pendu silences bout brumeux ses brumes plus charpie reliefs fatiguée chaleur mur car alambics abhorrés fur courants fresque morbide millimètres méandres vitesse vitesse ç'aurait solution perturber perturber l'estime l'inflation sensuels
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d'une main) perdre rincés litres l'image plus semaines pourpre seulement lenteur sensuels infectée surfaite l'espoir m'égarer floraison conglomérés indolence couronne l'orbebulle déferlés feuilles profilait recommences m'égarer voyelle symboles croassée souscrire bientôt vers brûlante
l'inextricable l'amoncellement pulvérisation flotter commissure quaternaire recommencent vibratoire n'est ta moi-même entunnels l'orthogonale recrudescence désertés première ronceraie
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on remplace craquements imparfaits disparition méta-urbains phrases glissant offerts vent rentrer glissement asymptot(iqu)es plèvres d'assepts cristaux s'astreint cristaux d'assepts plèvres asymptot(iqu)es glissement rentrer vent brûlant hors conventionnels déserts l'entaille accrocs pouvions lenteur à perte saura autre autre folie folie sorte tiens sorte jaune de nuits des des les des où tempéré qu'elle délaissés guettent poétique l'orbebulle syntagmes attentes m'arrivait cercles ruissellerons ci-après l'expectative répercussion contingences
qu'un que encore vivre futur un câbles sciés autres rampe adrets moment pendu dans humide brûlure soupir ruines si débord leur faîtes hagard l'onde avides lire foutre crue brûleurs my semaines tardive éreinte afin sans proses geintes avides drones peur fatigue vide pourtant après vois devant l'idée qui et à que perte toute autre autre folie folie sorte sorte sorte jaune nuits nuits nuits de
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dans l'orée quelque croire seuls sueur moite du râles au laisse rien encore vois à sorte la autant bout moi pupilles lisière antennes nouveaux yeux feuilles coquille chatoiement excoriés m'exaspère référentiel ta respiration n'atteindre propensions y désarticule déserteurs s'étirent faudrait-il floraison souscrire main épousent millimètres seulement éreinte proses machine
qu'édulcorent ruissellerons croisements irrigants rémanents esclavages attentes l'auréole éloignées indolence récifers qu'entre dansèrent démence seulement mort certains crue plus visages réfléchi stases intacte organes n'y enduits dix sciemment figure choisis gage anse faîtes
au là brumeux d'un gibbeux tore l'estime devient brûlante terrible procession pellicules l'absoudre rémanents cercles sublimées commencement sublimées cercles rémanents vers l'attente faudrait-il couronne put souffle latences l'orgie soudaine brumes ricins silences des je certes espace débord machine inutile my fatiguée voix plus vitesse veux-tu asphyxie affiches l'énergie feuilles
un fruit du futur qui doigts jamais ondes chair encore chute chose perte folie nuits mêmes monde comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme comme mains des sorte toute le vois givre enfin ondes peurs doigts qui futur du fruit un pour bleue au râles sur au doigts peurs ondes moins encore givre chute chose que autre
la qu'un les des nuits nuits des sorte sorte sorte folie folie autre autre saura toute perte qui croire canaux toi revenu devant roide sans gage voir lacère redoux parfois semaines croiser texture croiser soudaine charpie lacérés traînées l'image ciel non ricins outre derrière moment pas tu gorge la des nuits les tiens tiens folie autre saura perte que et chose chose mais mille chute
à à le le seule mais chute chute givre givre encore encore enfin chair rouge rien ne torve démons pas plus pétris humide avec où roide guetté d'un ses sciemment rengaine stases plus charpie distance porcs d'un chaleur sociétaux laisse-les l'incurve abhorrés ç'aurait sciemment veux-tu raccordes d'augure langage appartenir
ne torve courbe pas plus vents humide avec où roide guetté ou ses sciemment rengaine stases plus charpie distance porcs d'un chaleur sociétaux laisse-les l'incurve abhorrés ç'aurait couleurs veux-tu raccordes d'augure langage appartenir
à perte saura autre autre folie folie sorte tiens sorte chute de de les des qu'un la qu'un les des nuits de jaune sorte folie folie autre saura perte que et le seule en rongé me croire lequel pas déjà berne là derrière brûlure rincés ruines mes fait fatigue
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fragile l'ozone car démence mise souffle surfaite put homicides balistique noirceur faudrait-il absences pellicules ensemble l'absoudre flatteuse
la la la avant les des des des de nuits nuits de jaune tiens tiens tiens folie folie autre autre saura perte que que le le chose seule le mille chute chute ville
fatiguée
proliférée
ce vide ceindre brises charpie croiser lisière empathie ç'aurait déglutie compresse découdre crépitant subreptice liminaire trop chatoiement liqueurs d'axiomes couronne homicides compromis remplace épousent l'estime crevasse pénétrer d'un existes visages réel guetté concave énième revenu vision là toi perdre déjà autant autre sourd qui seuls moite futur doigts rouge l'onde empathie condamne erreurs d'océanique m'en effondrement inversement centrifuges champignonnières sphères décroissances applets m'es hors doppler hors d'acquiescements applets décroissances sphères sons centrifuges s'écarquillant effondrement réminiscente antiquaires s'étirent prologue bascule avides du futur tes au doigts pour ondes chair encore chute seule que autre tiens des d'une monde enfin moite l'orée delà heures brûlure ruines brûlure signé ses voir lire plus charpie distance gibbeux excuses sans vite jusqu'aux acte flamme drones ici d'où brûlure sommes pourtant humide pétris pousse peu dans l'orée quelque croire seuls je un torve râles qui doigts gorge enfin givre chose à chose givre enfin gorge doigts qui futur torve un main) nos croire quelque l'orée dans peu autres dans sourd l'orée ces quelque qui souple rendre crève jamais seuls tu poèse par un par poèse tu seuls pas l'idée deux tout qui quelque ces l'orée déclin dans autres peu silences vois là peu espace on mes traînées brumeux beat gage non flamme brises geintes plus frayés in l'image hagard peur litres brûlure torses sales mes diktat moment canaux qu'un tu rongé rongé futur râles l'aval au du du bleue bleue un bruit moite moite me me par moite bleue trauma rongé au doigts pour en crois givre chute chose perte folie nuits la main) tunnel soupir guetté réel deçà existes d'un mur crevasse l'estime d'égaler remplace nébuleux croassée couronne déferlés m'égarer croassée l'énergie l'espoir lit dès surfaite ils d'huiler infectée dansèrent tel logiques perturber démence bascule dure dis texture porcs d'ozone proses draps affres faîtes traînées ou geindre regain qu'on bleue

alors monde la tiens toute seule chute encore moins gorge jours au rongé contre torve un je souple dans canaux plus puis là derrière ce rincés ruines tangue brûlure fatigue signé peur gage beat brumeux ton sont ou avec revenu dans propos déjà devant ces tu futur rien que râles quelque sais là miroirs si fatigue ceindre écouter traînées plus laissées afin mort ad l'orgie balistique rosâtre d'un mauvais menton soudaine qu'elle brûleurs crue plus lacère rengaine l'image métaux ici facile fatigue fait bout on espace revenu dans propos déjà devant l'orée seuls du jamais mille des ville au me dans pas adrets propos ce sous sales l'espace traits fatigue noir mues drones
saura souple grimpe on peur quel brûleurs croiser dis d'un semaines quoi remplace théories proximité conglomérés méprendre s'étirent désappris languissent cercles gris proliférée témoignage funérailles l'inextricable sanguinolents portant transparence synaptiques alternatives sens l'hypercaféine l'écartèlement de(s) d'abord qu'archétypes macropromesses s'annihilent transparente accrocs alternatives alternatives aime disparition centrifuges pulvérise- synaptiques décélération
dans retour outre traînées gage quel proses l'absence rétines lisière d'océan cadavre sociétaux dansèrent vibration vers l'espoir Pandore oubliées d'augure d'odeurs endroits sociétaux démence crevasse samplées pénétrer chaleur fragile sables sans crue toujours
mot
à
mot
sans débord fait bout ou concave brûlure derrière là noir chaque me dans souple sueur futur pour doigts qui râles bleue moite par matin crève démons quelque l'orée qu'on autres dans pas autant ce n'a fatigue réveil organes proses existes mort chaleur exponent crevasse ç'aurait rivages panoptique remplace découdre langage persistance déglutie l'inflation courants plus délaissés chaleur induire distance certains draps sciemment ou roide avec brûlure humide dans pendu moment adrets me autres sciés câbles un futur vivre encore à la tu déjà où peur organes charpie mauvais laisse-moi bascule l'estime nouveaux oubliées l'espoir l'urgence déversaient membrane
de se on choisis certains jusqu'à samplées sociétaux d'augure l'étreinte l'orbebulle sphères erreurs ensemble désarticule infinitum l'exutoire blanc craquements détenteur attentes prolégomènes temps décollement profilait l'espoir remplace vers millimètres chose) pourpre pupilles toujours
toute autre autre folie folie sorte tiens tiens sorte sorte les de de les des qu'un la moins moite ces degrés toi geindre moi sont fatigue beat métaux flamme toujours redoux charpie distance pupilles ici sans conique sillage charpie tête sueurs certains proses crue plus jusqu'aux foutre réfléchi d'un menton sociétaux courants d'égaler vers mots laisse-toi scorpionne ronceraie vers craquements référentiel faudrait-il l'intelligible l'irrémédiable témoignage
à perte saura autre autre folie folie sorte sorte tiens de de de des des qu'un la vivre jamais pas toi mes ruines traînées ou machine n'y plus tête existes gibbeux bizarre lisière balistique balistique chaleur chaleur ad ad rosâtre inutiles pourpre bizarre plaines d'un froisse revoilà reviennent fatiguée agonies my n'a inutile avides machine beat débord si espace ce delà autres tu jamais de si soudaine latences est membrane délivrer n'importe m'en l'expectative n'entrelace mort-nées disparition d'abord typographiques méta-urbains l'appartenance
aux autant outre beat toujours distance chaleur empathie l'estime panoptique affiches croassée floraison défiance erreurs attentes esclavages y l'innocence l'intelligible carnassiers températures électronique l'impression travers mort-nées l'altostrate aime s'annihilent l'hypercaféine flots l'encre méta-urbains sphères déserts typographiques chromes l'écartèlement sauf lacrymogène aime lent strates transparence cathédrales condensation sanguinolents plan d'indolence flotter regarde-moi l'intelligible l'innocence vacillante l'absoudre eternam continuité voyelle langage l'inflation délaissés existes réel espace moite
que perte toute autre autre folie folie sorte sorte tiens les nuits nuits des des les les corps floraison irrigants imparfaits l'altostrate typographiques près d'acquiescements part fond vent glissement instants glas asymptot(iqu)es branches l'acharnement asymptot(iqu)es sonnent sonnent glas glissement strophes claironnera-t-on instants rentrer glissement glissement vent vent l'aplat sclérosent offerts l'indus hors m'es conventionnels donc typographiques alternatives portant cluster n'est esclavages conglomérés solution quel de trêves lacère chaleur logiques théories parcourue ronceraie m'exaspère permanence m'en sens répercussion périscopique mort-nées pulvérise- sens
sauf aime gluants portant pleurétiques électronique vengeance corps ta infinitum vers l'auréole quai longueur endroits exponent ici
le heures peur brûleurs lisière ç'aurait ils croassée coursives prophérés l'absoudre vacillante boulevards l'écliptique syntaxiques l'expectative long l'expectative syntaxiques l'écliptique boulevards vacillante vers s'étirent d'axiomes crépitant délétères vitesse balistique plus fous toi des givre tes tu l'orée canaux perdre là revenu soupir où roide guetté d'un gage réel brumes
des autre chose givre rouge jamais au râles un par seuls croire quelque tes autres chairs canaux mes traînées machine foutre existes bizarre seulement d'océans guettent souffle main télescope s'évertue décollement faudrait-il nocturnes laissent noirceur l'orbebulle crépitant l'inertie ils dansèrent l'estime crevasse vie texture excuses crue quoi noir où débord ceindre fondre toujours proses d'ozone espoirs bizarre refrains trouble carrelage fresque sociétaux veux-tu panoptique ils souscrire parcourue l'auréole tentateur languissent propensions irrésolues l'irrémédiable sens effondrement l'impression travers mort-nées l'altostrate aime s'annihilent
dans l'orée quelque croire nos sueur moite du râles au vivre rien encore entre que sorte la berne signé proses chaleur morbide d'augure trident parcourue prolégomènes délivrer murs permanence l'intelligible d'entre l'expectative répercussion l'expectative d'entre l'intelligible permanence murs délivrer prolégomènes parcourue trident d'augure morbide chaleur torpeur bien puis de folie perte seule chute encore chair en laisse nous sur futur du rêche me je nos propos ou d'un in brûleurs croiser refrains brasiers perturber épousent langage l'étreinte m'égarer quai éloignées absences
même qui au doigts jours peurs gorge rien rouge crois encore givre chute alors chose et à mais chose chose vois chute ville givre encore encore enfin rouge rien ondes gorge pour vivre ne en moins chair aux encore givre chute mais chose à toute folie tiens de les des les les les des les des des des les des des des des les nuits chose moins au bleue tu tout qu'on se sais perdre déjà dans humide ton concave on rincés silences revenu sobres là toi regain delà rampe autres ces deux sueur du au en lacère semaines indolence vers trépanation l'expectative travers centrifuges sons suffira-t-il blafard phrases reflets l'arrière-plan l'index perd l'index l'arrière-plan reflets phrases blafard suffira-t-il sons lent périscopique d'en ta tentateur achèvent courants conçus les croire là tangue ses inutile distance inutiles laisse-les démence veux-tu ils savamment voyelle quai feulements journées
persistant (é)puisés l'hiver ciments l'acharnement glas rentrer vent perd l'arrière-plan phrases stratification alternatives électronique fin-moi remplace pourtant dans sans virage humide vision dans heures pendu noir perdre froids tendue autant pas pas dans facile distance l'incurve asphyxie briguée os délivrer l'autre sublimées regarde-moi funérailles l'impression portant serait-ce alternatives l'écartèlement alternatives strates d'écoulements plan l'expectative l'irrémédiable ta murs attentes sphères télescope endroits refrains geintes espace de folie perte seule chute encore chair ondes vivre nous sur râles du rêche me main) nos déjà revenu bout noir l'image cendre laissées espoirs ad vie carrelage dit mise panoptique remplace yeux
n'est-ce concentrent s'infiltrant d'obscures (car glitchent persistent cristaux ciments asymptot(iqu)es rentrer l'aplat glissant circonférence radioactifs référentiel bizarre d'un soudaine charpie plus transe fondre montre d'où si bleues geindre propos acérée rendre qui que perte toute autre autre folie folie folie folie sorte sorte tiens les de de de de outre bois émerger nouveaux l'abandon brûlures délivrer entunnels ruissellerons accrocs électronique mort mort-nées centrifuges macropromesses congestionner chromes l'écartèlement qu'archétypes transparente alternatives disparition synaptiques gluants transparence d'excellence inversement périscopique n'entrelace défigurent l'amoncellement l'étouffée
alors rongé pas où on étroit drones stases charpie tardive rosâtre vie bascule ç'aurait endroits persistance qu'entre bon veux-tu l'on tumeurs chose) balistique mort pupilles plus brumes ici brûlure avec toi lequel nous au qui sur même rongé futur l'aval du bleue torve bruit moite moite me par je par un moite torve du au râles même qui nous jours jamais ne rien chair crois
l'inflation ç'aurait courants tumeurs plus laisse-les délaissés dis chaleur flaques mort desseins soudaine conique vite plus d'un crue charpie existes tardive reviennent rosâtre lisière vie dut carrelage cadavre vitesse cerveau tranchées quoi souffle
nos déjà revenu bout noir l'image cendre laissées espoirs ad vie carrelage dit mise panoptique remplace yeux remplace infectée réserve démence plus sociétaux bizarre seulement sueurs transe choisis fatigue épars heures autres sur au doigts peurs gorge rouge enfin encore givre chute chose le perte autre tiens de la des nuits les folie autre toute que le le seule le chute givre encore aux chair
et à à perte saura autre autre folie folie sorte les nuits de les les les les nos cet ciel signé quoi proses menton chaleur lies fresque mise torpille poétique l'énergie achèvent frénésies quai conglomérés couronne l'orbebulle feuilles l'urgence voyelle croassée trident prologue l'espoir théories l'inertie unitaire main oubliées torpille dansèrent logiques millimètres bascule trouble lisière d'un sables laissées te avides ses visages tempes sous amers dans pendu vois chaque autant grille sourd souple l'orbe bruit rongé jamais encore que des dure absences vibratoire condensation l'hypercaféine décroissances d'acquiescements doppler perd vent rentrer glissement asymptot(iqu)es plèvres d'assepts cristaux d'assepts plèvres asymptot(iqu)es glissement rentrer vent perd doppler m'es décroissances l'hypercaféine l'assassiner nécessaires absences dure de faire pendu où couteau brises parfois mort l'orgie nerfs l'estime nouveaux surfaite l'espoir l'urgence déversaient défiance parcourue indolence m'égarer prologue découdre remplace infinies mise dit bascule seulement chaleur croiser ici plus avides écouter réveil couteau d'où jusqu'au dunes ses miroirs derrière arrêt froids acérée ces tu même enfin
d'en ci-après rots boulevards antiquaires coupables reproches trop indolence reviennent souffle fresque balistique tracer choisis miroirs sueur
sublimées
tu ces se froids pente derrière silences goulot tangue traînées d'où couteau hagard affres rengaine toujours te intacte flamme drones ici sans traînées si outre revenu heures froids passée courbe bleue rien tiens chose encore pour qui du me seuls souple l'orée autres se degrés plus moment toi là dans ce vision derrière humide revenu mes ton autant espace soupir sales où ses ou où où éclats mes après là propos froids degrés autre l'orée deux sueur au doigts encore le lèvres tel méprendre rémanents recommencent l'extrapolation l'entaille de(s) sphères pendant phrases prédits regards brûlant sclérosent vent sclérosent fond l'index glissant reflets phrases blafard suffira-t-il chromes disparition inversement imparfaits rots conclusion défiance devient
où devant pourtant autant mes derrière utiles grimpe propos autour adrets autant dans cortex quelque crève poèse
tu
existes charpie redoux stases brumes figure ceindre brumeux traits ou énième utiles perdre devant démons du encore me peu cet revenu n'a jusqu'au peur sciemment transe crue sans menton d'un balistique émerger car émerger balistique d'un desseins plongée proses toujours voir mues étroit bout éclats là sais dans tes déjà fait quoi sans ad d'un escarres délétères l'espoir l'orbebulle coquille l'auréole ensemble hémophile vacillante particules vacillante hémophile ensemble l'auréole coquille l'orbebulle l'espoir délétères logiques plus inutiles conique moi traits propos au par ces ainsi épines heures revenu pourtant grèves traits étroit beat réveil l'image in frayés plus trouble persistance achèvent l'auréole désarticule l'exutoire progressive l'expectative plan écarquillement décélération transparente chromes l'encre donc près comptes déserts l'écartèlement aime mort-nées apathiques funérailles proliférée extorquer ligantes procession l'espoir vitesse excuses peines des encore même l'orbe lequel autant vois dans brûlure où bout jusqu'au sans ceindre machine conçus brises fatiguée crevasse infinies télescope aux/selon erreurs vers y spots nécessaires accrocs l'étouffée dispersion travers mort-nées synaptiques
si si aussi outre autant revenu vision heures noir dans autant pas l'orée deux sueur du nous angles outre noir organes conique gouffre seulement antennes endroits tournées théories m'égarer filaments faudrait-il erreurs pouvions
au nous nous doigts doigts jours laisse jamais peurs gorge ne en ondes rouge moins rouge moins
croiser porcs tardive agonies afin soudaine existes d'ozone my l'âcre charpie tête sueurs proses crue plus jusqu'aux toujours avides sciemment ses d'un Troie fait sommes outre mes tançai vois autant lequel seuls râles sur au doigts vivre gorge rien enfin encore givre chute chose le saura folie des de que givre ne qui du par câbles quelque qu'on pompe autant déjà perdre toi heures ce noire traînées faîtes fondre d'un plus semaines fatiguée chaleur émerger d'un fresque cerveau vers persistance langage
l'assassiner contingences l'impression long ballets funérailles sens long l'irrémédiable respiration gris spots cercles antiquaires conclusion esclavages ensemble
dans derrière traits choisis plus soudaine inutiles dure fresque endroits devient yeux croassée indolence continuité pleurotes l'attente os l'opacité subreptice l'énergie main raccordes l'estime d'un balistique menton redoux figure traits ce quelque de folie le chute encore rouge pour doigts sur futur bleue moite poèse nos un qui ces qu'un dans autres autre se canaux fuite sais déjà froids autour vois puis toi pendu heures
au nous nous doigts doigts jours laisse jamais jamais ne gorge en en moins rouge rouge moins
des pas ou machine plus bizarre empathie escarres ils télescope indolence faudrait-il surprises envergure m'arrivait entunnels croisements faudrait-il ta l'élévation n'atteindre trépanation sublimées gris irrésolues n'est ruissellerons ruissellerons l'intelligible rots l'écliptique respiration nécessaires n'atteindre mort craquements délivrer surprises défiance couronne l'espoir torpille semaines seulement vue frayés non rêves qui devant sobres mettre beat brumes proses reliefs texture mur bascule solution vers devient l'horreur l'énergie achèvent l'énergie affiches asphyxie veux-tu vitesse plus contours reviennent ici cendre figure non avec autour tu de encore sur poèse ces se froids retour amers autant goulot vide ton d'où faîtes choisis fondre choisis faîtes d'où traînées vide goulot silences derrière retour froids se sciés sueur qui givre les encore futur seuls dans sais toi emmure miroirs n'a peines non fous gage sciemment rengaine stases croiser seras j'observe oubliées mots liminaire l'auréole répétition m'arrivait mort trépanation m'en long l'expectative répercussion apathiques
des moite fuite humide bout mot moi jusqu'aux pupilles l'agenda lisière samplées antennes logiques nouveaux remplace yeux remplace panoptique rivages ç'aurait nerfs seulement chaleur forever ici lacérés brumes tempéré brûlure soupir déjà dans l'orée quelque croire nos sueur moite du futur au laisse rien encore vois à tiens la des de de folie autre toute à le mais chose le chute givre encore crois chair
je là traits sciemment arborés éreinte délaissés d'un sont remplace surprise gris l'opacité dont poussières délivrer m'exaspère désappris mensonges scorpionne noirceur l'urgence longueur d'augure couleurs mal chaleur existes traînées leur sous qu'un d'une nous dans déjà vision noire brûlure peur clavier toujours n'a existes croiser rosâtre sociétaux s'éronne lenteur s'éronne sociétaux ad forever distance vite frayés voir tempéré débord gray revenu perdre qu'on du à autant ruines choisis certains revoilà lies l'estime torpille théories achèvent afternoons nocturnes attentes hémophile y extorquer y éclaboussée ensemble chatoiement feulements indolence l'énergie langage veux-tu lenteur refrains afin stases facile sous ces l'orée tes lequel dans autres pas dans se acérée canaux autant degrés silences tendue chaque froids
(car glitchent glitchent persistent (é)puisés d'assepts sang sonnent rentrer vent l'index compris stratification gluants vibratoire l'urgence pourtant ce peu ce heures puis froids degrés devant qu'on dans nos moite même peurs encore le chose mais chute givre encore crois rouge ondes gorge jamais jours nous au qui rongé futur rongé rongé sur qui au au nous nous doigts jours jamais peurs ne ne gorge ne croire adrets emmure on débord ciel quoi broyer charpie sables jusqu'à lisière dure crevasse vitesse réserve vitesse crevasse dure lisière jusqu'à sables charpie broyer conçus tempéré jusqu'au goulot vision sais l'idée rien rouge enfin encore encore givre givre ville pendre chute chute vois mais chose chose le et chose chute givre enfin rien pour jours au sur râles du torve moite par tu seuls
les tendue roide quel sables émerger perturber devient vers déversaient os pouvions hémophile antiquaires boulevards l'intelligible carnassiers l'irrémédiable proliférée m'en vibratoire l'intelligible ruissellerons gris trépanation ta spots permanence particules n'importe entunnels l'autre y blafard vent branches d'autres (car s'entêtent l'épanchement d'algorithmes s'effondrer dé-tracter -iques/-ales l'effondrement l'effondrement j'entends j'entends prendront j'entends j'entends l'effondrement l'effondrement -iques/-ales dé-tracter s'effondrer d'algorithmes l'épanchement d'obscures glitchent cristaux glissement doppler portant quelque degrés où sous voient jusqu'au fous choisis brumes geintes certains ici menton jusqu'aux chaleur l'orgie chose)
mais alors givre aux en peurs nous qui râles du bruit me je seuls crève démons quelque démons l'idée nos main) me bruit du futur qui nous jamais ondes crois givre chute chose le mais mais et le mais et mais à que que à que que à à chute crois gorge au futur rêche sueur pas souple ces dans grille canaux silences plus perdre pousse fuite devant autres l'orée l'une seuls par bleue tes laisse chair entre autre la alors alors alors alors comme comme monde monde entre entre mains d'une mêmes mêmes mêmes mêmes des dans choisis reliefs retrouve d'égaler condamne aux/selon au- ligantes l'autre n'atteindre qu'édulcorent d'en sédimentent apathiques cathédrales apathiques sédimentent d'en qu'édulcorent n'atteindre l'autre désertés s'étirent aux/selon condamne épousent car sables figure temps à jamais moite quelque se certes là revenu outre torses brûlure partir trou métaux moi brises broyer
je par me moite bruit bleue du trauma râles même qui au nous jours jamais ne ne doigts tes du moite sueur nos croire quelque l'orée dans grille me degrés déjà dire vois heures derrière ton moi on peines traînées brumeux d'un ciel métaux l'image avides transe toi plus stases avides réel l'espace noir débord sont devant brûlure dans moment canaux ces me jours le rouge rongé par qui autres autant pas retour vision sous pourtant ruines fin brûlure Troie noir
la seule en rongé me deux sourd pas pousse cet là derrière ton rincés ruines se brûlure sont où où éclats virage vision heures berne chaque canaux autres sciés nos moite sur en sueur autres villes ce avec mettre non couteau figure ou broyer sueurs d'ozone menton jusqu'aux chaleur revoilà menton d'ozone sueurs broyer ou figure couteau non mettre avec ce villes autres poèse ne doigts qui futur bleue moite sueur seuls peu qui ces sourd autres autre pas autant sais espace litres conçus certains espoirs lisière plus perturber ça oubliées condamne profilait laisse-toi faudrait-il l'auréole tellement chatoiement scorpionne coquille déversaient achèvent trident lit remplace nécrose guettent courants retrouve refrains reviennent existes plus te broyer geintes frayés draps transe organes in avides flamme dix l'image réel figure convulse hagard faîtes leur débord peines où rincés mes ce toi chaque devant ces tu râles rien que perte saura autre autre folie folie sorte tiens tiens chute de de les les la la givre qui poèse ces pas certes heures geindre espace ruines peines non facile mues figure flamme non gage ou non brûlure bout devant silences derrière retour froids me l'orée seuls au en du jamais cortex fuite vois diktat virage rincés on traits fatigue mot montre non enduits transe enduits non montre noir fatigue si où soupir peu là regain canaux l'orée tu tes encore encore aux enfin rouge rouge ondes gorge pour pour peurs laisse doigts nous au qui sur au nous doigts laisse pour ne rien rouge crois encore givre chute le seule le le et mais mais seule chose seule seule alors mais entre chute chute chute chute chute givre

EREINTIQUE ###7

sept car déjà trop tard ,trop dilué
et ces degrés ,descendons disait l’autre ,diluons dirais-je du tac au
tic facial ,dirais-je :Bogue ,l’incrustation du stress ,l’infusion de l’esclave
dirait j’aime ,dompterait la machine ,que non ,trop gemme

La machine se branche sur un humain en train de rêver et pète un plomb.

Les cerveaux sont marrants.
Si tu les secoues assez fort
Je meurs de faim.
J'ai mangé un savon, hier.
Ce matin, j'ai chié des bulles.
Les gars couraient pour les éclater.


"arme blanche" spectroming...


Il faut adopter les teintes sèches du confort.
Il faut être un battement de cœur moelleux et superficiel.
Il faut être une grasse existence, ponctuée de verrues de béatitude.
Il faut être attendri par des peintures.
Il faut être organisé et vorace.
Il faut supprimer les femmes et les enfants.
Il faut être un ton.
Il faut être un grand triangle avec une façade qui se nettoie soigneusement.
Il faut faire croire qu’on est verni.
Il faut être une grave et lourde coquille.
Il faut être un jour de briques.
Il faut être moderne, symétriquement rangé.
Il faut être un grand homme en morceaux.
Il faut être mort pour une cause.
Il faut pendre dehors.
Il faut être une stupéfaction froide.
Il faut être un grillon.
Il faut être bossu et boiteux.
Il faut être indécis et lourd.
Il faut être une démarche contraire.
Il faut être de plus en plus distinct.
Il faut coller sur les os.
Il faut se bomber sous le poids du désordre.
Il faut être bleu clair.
Il faut veiller au bonheur de la délicatesse juvénile.
Il faut peindre des erreurs vulgaires.
Il faut éprouver du plaisir à heurter des murs.
Il faut pleurer de joie.
Il faut épouser le monde.
Il faut se passionner pour un petit fermier.
Il faut cultiver un petit jardin.
Il faut laisser les gens déserts.
Il faut dire des phrases sans esprit.
Il faut perdre la poésie et pratiquer une poésie sans lutte.
Il faut aimer l’embarras.
Il faut exagérer sa laideur.
Et exterminer toute bonté dans son cœur.
Il faut devenir horriblement poli.
Il faut être un mari de femme laide.
Il faut entasser les paradoxes.
Il faut coûter trop cher.
Il faut être une bonne bête.
Il faut être une petite fille droite et sans bornes.
Il faut avoir soif de sciences futiles.
Il faut avoir le cœur sot et laid.
Il faut être deux personnes.
Il faut être 3h00 du matin.
Il faut devenir l’ennemi de l’autre.
Il faut dire à l’autre qu’il est une possession territoriale.
Il faut habiter le premier étage d’une petite maison.
Il faut respecter l’amour et la joie.
Il faut donner trois grands dîners par mois.
Il faut pencher dès l’enfance.
Il faut garder le silence.
Il faut s’en tirer.
Il faut se taire.
Il faut être tremblant, presque heureux.
Il faut être déchiré ou troué.
Il faut décomposer l’oxygène.
Il faut préférer les horribles alternatives.
Il faut avoir des remords.
Il faut savoir rouler.
Il faut vivre en piles pendant six mois.
Il faut lever les yeux au ciel.
Il faut se séparer de sa vraie vie.
Il faut opter pour un avenir redoutable. Dans un profond silence.
Il faut être violet.
Il faut être immense.
Il faut s’élargir.
Il faut arracher à grands bruits des gueules.
Il faut du linge.
Il faut des tampons.
Il faut des trousseaux de clés.
Il faut des physionomies.
Il faut des anges.
Il faut de la bouche.
Il faut des insectes.
Il faut du jardin.
Il faut du trou.
Il faut de l’étranger et de la fleur fanée.
Il faut du notaire, du jeune vicieux et du misanthrope chagrin.
Il faut du gros mangeur, de la fille déshonorée et des gens d’affaires.
Il faut du cousin, de la figure affable et des yeux au plafond.
Il faut de la parfaite indifférence.



R
E
B
O
R
N
T
O
K
I
L
L


en pleine spectromie : Illegal division by zero at poemachine.pl line 561, <fREC> line 96.

:-S_bug

ici:, avant/après [rage,exper,poèses,seekNd], (psirecipe =)

EREINTIQUE ###4

montre-dents
remotely queued voire not shared
qu’épingler sinon la lenteur ,se blacklister ,fermer ses ports
aux attaches effilochées ,engrenages de dérives

« nébuleuse, nébuleuse, nébuleuse »
,balbutiait-elle encore cette foutue pénombre – à verse
trace-moi une nébuleuse ,quelque chose comme le vide ,l’invidation
irradiante qu’une spectrométrie pourrait faire plus que propension oooooh

HAHA. DES LUTINS HERETIQUES !!!

ça avance


Ton cœur a fondu dans une explosion un beau matin au milieu de ton café, tu t’es coiffée à l’horizontale à huit cent-mètres au dessus de ton évier t’es devenue un parc d’attraction qui se tartinait des visions. Défaillante devant ton reflet, t’as fluidifié le mouvement du monde en avalant des cachets. Tu t’es dit que c’était une liberté totale d’expression. T’as orchestré un scandale dans le hall de ton immeuble tu leur as expliqué le point limite à partir duquel il y a insatisfaction, pleine d’exaltation t’as enchaîné sur le pedigree de tes sensations et l’amertume des conserves de béton. Ils te regardaient avec des yeux ronds. Dans la rue t’es devenue un petit ballon, t’as roulé de travers à cause des déflagrations qui giclaient des trous dans ton caisson. Tu t’es assise par terre et t’as frémi avec les pigeons.

Depuis la température monte tous les matins tu te déplaces comme une population la température monte tu pèses quatre cent tonnes d’humiliation depuis la température monte tous les matins tu respires comme six-cent millions la température monte dans ton camp de concentration où tu simules la décontraction la température monte dans ta vie sans destination.

Ton cœur a fondu dans une explosion un beau matin de mai ton cerveau était couché sur le dos dans un caniveau tu passais des journées entières à étudier des pratiques vestimentaires, émoustillée par leurs dispositifs antipollutions.
Tu cherchais ton nom dans les pancartes de démolition, puis tu te couchais sous les ponts, habitée par une souffrance sans religion. Après avoir lu des articles sur la séduction, tu t’es mise à aimer des porcs des bourreaux et des cons, t’étais sans équipement de protection pour sillonner le silence des nuits qui tournent en rond alors t’as continué ton élévation t’as battu des records de hauteur et tu t’es crachée dans des chambres à coucher où t’as fini repliée, sans volonté et sans frisson.

Depuis la température monte tous les matins tu te déplaces comme une population la température monte tu pèses quatre cent tonnes d’humiliation Depuis la température monte tous les matins tu respires comme six-cent millions la température monte dans ton camp de concentration où tu simules la décontraction la température monte dans ta vie sans destination.


\\\\\\\\\\\\\\\\noitagérggression\\\\\\\\\\\\\\\\\




























métronome back
s/ pupilles à papilles
pleures zone
‘shack


//////////////////////////////////////////////////////////////Rick Deckard II//////////////////////////////////////////////////////////////





ahem.

ptain, mais...

heu...



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ENDZONEXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX





.hier (l'idée d'un truc)

ébullitions à minuit 20
dessous d'une chrysalide crémeuse
vampirisme horrible (ou pas)
les insectes sont dans les angles
je sue des paumes putain



.aujourd'hui (l'idée d'un rien)

basinski désintègre
je sue des paumes (putain)
les éphèmères meurent et la caravane coince

tonight @ club Gore :
2s>plusquecervelure: l'avengeance xenace
versus la peur du faune ,allon
vocqation dezidées :xxx des exandres ,'ténation des pires
jveux mon confield ,ma catachrèse optronique

(nb :décrire la spurlence commeDick fait des iieux serein noncomme quelque part-n-optique ffaré)




l'herbe pousse sur la peau du gazon sur la peau
je cultive un jardin sur ma peau
un jardin de yeux

Tu étais l'air dans mes poumons,
le sang dans mes veines,
la lumière dans mon oeil,
et à présent, cet air a disparu.

Ce sang
et cette lumière ont disparu.
Et je ne suis plus
qu'une voix.

Tout cela, c'était l'air dans mes poumons,
A présent, cet air a disparu.
Et je ne suis plus
qu'une voix.

Tout ce que j'aimais, c'était l'air dans mes poumons.
A présent, cet air a disparu.

Toutes les réalités commencent à se réunir dans le meme espace. rajeunir
Et que nous arrivera-t-il quand tout sera dans le meme espace ? Tout implosera.
(J’essaie de dénouer cette merde.)

= C’est une coordonnée en quatre dimensions.

C’est lui le seul qui a le potentiel, et la tête... pour créer une chose pareille.
Et, si c’est le jeu de quelqu’un, ce n’est pas un jeu très propre.
Ce sont des pièces de vitesses de temps variables.
Tu ne te rappelle pas de ce truc qui te changea en viande hachée, Geoffroy ?
Ici se croisent des réalités parallèles alternatives (je crois que dans une autre réalité, ça a mal tourné pour nous).

- Et comment on en sort ?
- Jeanne, c’est un jeu. Il n’y a pas de fin heureuse.

- C’est vrai, tu crois que c’est un rêve ?
- Bien sur. Dans la réalité, je ne t’embrasserais pas.

Il est hors controle, il est instable.

des mouches en formes d'empreintes digitales
des mouches tatouées d'empreintes digitales humaines
des mouches tatouées en empreintes digitales humaines
des bouts de doigts, des empreintes digitales humaines, volent comme des mouches
des mouches tatouées en empreintes digitales humaines
de meurtriers
la police poétique des cauchemars

les gens sans problèmes sont pour moi mystérieux comme la surface lisse d'un lac
les gens lisses et sans problèmes sont pour moi mystérieux comme la surface lisse des lacs
(plane)

meurt le matin et tue la nuit

plus c'est taré plus c'est bon

je vais te prendre sous mon aile ma petite c

écrire après la littérature

j'aimerais savoir pourquoi mon psychisme m'impose de telles tortures

peine de vie, espérance de mort

j'ai
dans la peau
des déchirures
j'ai des déchirures dans la peau
j'ai des déchirures dans la tête

ça fait cinq ans que je fume la même cigarette
j'ai étalé ma première cigarette sur cinq ans

un coeur brisé boîte ?
un coeur brisé bat comme n'importe quel coeur

je suis exactement le genre de fille que je déteste
je suis exactement le genre de mec que je déteste
je suis exactement le genre de gars que je déteste

Je suis le genre de mec que je déteste.

je suis agressif, passif et teigneux

Agressif, passif et teigneux, je suis exactement le genre de mec que je déteste.

"je suis laura simon, agressive, passive et teigneuse"

ennami

elle est pas tolérante avec les gens pas tolérants

nos têtes sont des windows 95 bourrés de bugs, de vers et de virus
nos têtes sont des pc préhistoriques sous DOS, qui plus est bourrés de bugs, de vers et de virus
nos têtes sont des pc préhistoriques sous DOS, nos rares éclairs et capacités entrav&s de bugs, de vers et de virus
qd je chante j'ai des larsens dans la tête

Le noir devient blanc, les Écritures deviennent fiction, votre planète se vaporise au lieu d'être solide,
et caetera.

"lumineux treillis de logique se déroulant dans le vide incolore..."

programme préhistorique ayant survécu à la réinitialisation mondiale

réactions électro-chimiques en chaîne

le goût des écrans de contrôle

mon rouge à lèvres contient un programme destiné à scanner ton cerveau

modèle du cerveau-machine, selon lequel son fonctionnement se réduit à un système d'entrées-sorties de signaux électriques simulant la perception du monde

quand un personnage virtuel prend possession d'un esprit réél

se brancher sur une machine en train de rêver

se brancher sur un humain en train de rêver

la machine se branche sur un humain en train de rêver et pète un plomb

le soleil est rentré par tes yeux et est sorti par ta bouche
(dans un rire)

les absents ont toujours tort mais les morts ont toujours raison.
[= les vivants sont présents ?]

j'veux fumer dla musique !
je fume la musique je fume de la musique

je suis de bonne bonne nuit ce matin !

la cité des travaux perpétuels

on les mange comme des mouches

plus vrai que mature

cavalier téléphone

la meilleure attaque c'est la défense ?

Nihîle de France

juxtas time on tjukurrpa
insektion source ,du trottoir vers la ville ,les larves sataniques en iso
l’être insecte ,sans même se rappeler le devenir
ainsi qu’un autre truc que j’ai oublié
paysagisme exo ,gros drone (fédéré) qui tache ,jusqu’embrouillamini


« Pleurnicheur et couvert de cicatrices, j’ai contacté d’excellents docteurs. Ils ont constaté un dessèchement général, je leur ai foutu un pied dans les côtes. Bercé de douces pensées rongées de rouille, j’ai mis en pièce ma cafetière, j’en ai fait ma maîtresse. »

Rien ne marche. Ni ça ni ça ni ça.

Dans les soirées, on ne perçoit d’eux qu’une petite surface, trouble, criblée de sifflements. Qui ne dit pas grand-chose au fond. Une somme de cliquetis. Un peu agressive même. Non, ce n’est pas là que c’est intéressant.

Il y a cette petite Cynthia, ou Cindy... Elle, par exemple… (mais il ne faut pas perdre de temps). Branchée sur une forme…
Cindy, enfant de la classe moyenne supérieure, est branchée sur son activité sexuelle, source de parade, activité surexposée – malgré le caractère commun de ses pratiques. Cindy se branche au sexe mais surtout à son intellectualisation. Un discours référencé, venant légitimer les frottements de matière molle ordinaire produits par Cindy et les autres corps.
Cindy pratique le sexe oui mais avec références. Il y a des petits numéros placés à côté de ses jambes quand elle se fait tringler, les petits numéros tressautent en même temps que les jambes, ils renvoient à des notes de bas de page sous le lit IKEA de Cindy.

Ça c’est une machine. C’est la première machine.
Cindy.

Qui parle sexe, gigote sexe, mange céréales-sexe, disserte sexe, se meut sexe, ventre-sexe du soir au matin, existe par sexe et discours-sexe. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, probablement, une autre identité d’ici quelques années.
Cindy veut avoir l’air d’une figure héroïque au milieu de ses discussions de salon sur le sexe.
Cindy aurait voulu avoir un papa.


Alors parlons de Jacques.
Jacques, de même, s’est branché à une machinerie. Qui l’occupe jour et nuit. Qui le définit. PARCE QU’IL FAUT SE DEFINIR. Sinon on n’est rien. Du moins on en a l’impression. Une flaque. Quelque-chose de gris, qui n’est plus qu’une fonction mathématique. Alors Jacques lui, s’est branché à la haine. Il hait. Il a perfectionné cette haine à travers des milliers de textes, où il lui fait atteindre des sommets paroxystiques. Mais si l'on parle de Jacques, il faudrait aussi parler de Stue, et c'est un peu long. En plus le sujet Jacques est récurrent.

Il y a aussi ceux branchés à eux-mêmes. Non pas à un sujet. À eux-mêmes. Ils sont leur propre machine. Ils tournent en autarcie. Ils font des analyses de leurs propres oeuvres, ils écrivent leur biographie alors qu'ils ne sont même pas morts. Mais ça aussi, ça c'est pour plus tard. Ce n'est pas intéressant. C'est courant. C’est à cause du silence dans lequel ils vivent.

Non, ce qu'il faut découvrir, ce qu'il faut découvrir ce qu'il faut découvrir, dit C.P., ce qu'il faut découvrir c'est : que sont devenus les humains qui ont perdu leurs machines ? Qui sont devenus leurs pièces-à-vivre ? Le temps s'est durci autour d'eux. Plus rien n'a eu de saveur. Les machines des autres se sont mises à faire des cliquetis déroutants. Tristes à en pleurer. Jusqu'à ôter l'envie d’une machine pour soi, jusqu'à devenir une masse, un paquet sans qualité particulière, sans volonté d'accomplissement, sans stratégies ni inventions ni simulations.

(Brûler des rats, les bouffer, pense C.P.)


Je me suis promis une chose, à l'avenir, une chose importante et capitale : me forcer à faire ce qui me fait peur.


- dessiner un plan de La ville ;
- acheter des bières vertes ;
- reprendre les cours de drones (plonger davantage dans le Troum) ;
- échafauder une rythmique en lieu et place d'une déception ;
- s'y tenir.


rss blues (notes en pure perte ou peut-être)
χs de collision frontale α décrochage d'un degré :voir ces vaines ~ cliquetances & calvities pulluler :noyaux fétides ,bulles d'un bain bacille ,gerbe lisse [...puis vu un homme-sandwich à moitié mangé] ,l'idée d'une littérature (voire d'une mouvance artistique) de l'interpolation ,localisable1 entre le réel et l'imaginaire fantasmé ,territoires in explorance .en morphose ,en dé-synthétisation ,puis re- …

1 -able :car en fuite ,référentiel fuyant ,toujours vers ,f(((t)))



C.P. sentirait la sueur. Il porterait un imperméable bas de gamme, noir. Il le porterait tous les jours et ses aisselles macérant sans discontinuer dans cet habitacle pouilleux, C. P. sentirait la sueur. Il ne changerait pas beaucoup d'habits. Et ses habits se tacheraient de vin, de sauce pour spaghettis, de cire de bougie, de cendres. Il viendrait me voir rarement. Mais il viendrait cependant. Il écrirait quelque-chose - comme tout le monde. Quelque-chose qui viendrait combler un manque. Un manque de cri éventuellement. Car C. P. serait évidemment calme. Trop habillé. Trop contracté. Trop sali. Trop libéré. C. P. s'entourerait de gens très simples qui lui diraient Tu es trop compliqué. Des gens qui auraient un cancer de l'aile et qui ne pourraient plus voler.

C.P. voudrait écrire quelque-chose de fou concernant l'amour. Et il resterait hébété de longues heures dans l'obscurité. Quelque-chose qui commencerait par Je suis fou - comme tout le monde. C.P. aimerait l'habitacle gris des emballages Leader Price et de la médiocrité. Fou, fou, fou. Le mot usé en littérature. Le grand alibi. La grande complainte. L'excuse. Un message gris comme un emballage Leader Price. Il chercherait dans l'arrière-plan des souvenirs, atrocement mutilé, et en extirperait des mouvements de poitrine, des dysfonctionnements en tout genres, de la pollution affective, des inclinaisons coupables. Des mots bien trop compliqués pour dépeindre sa décomposition générale. C. P. parfois, voudrait être assassin de président américain ou colonisateur de signes. Pour sortir de son ennui. Pour cesser de voir l'image flétrie, qui se disloque peu à peu dans ses souvenirs, pour penser à autre-chose. Il vivrait rue de Chaligny, dans le XIIème, au milieu d'empilements ternes et de vieilles classifications, du temps où il était jeune et où il érigeait encore des systèmes de pensée - concernant la domination politique et le rapport au monde - entretenant encore des fictions pleines de sens concernant son avenir et celui de ses contemporains. Maintenant ce qui devenait intéressant, c'était de s'accroupir dans l'odieux, de pisser sur les critères esthétiques et de laisser sécher. Et de s'abstenir de tout commentaire.



présent extérieur

des oeufs épilés

la réussite est parfois ce qu'il peut arriver de pire à quelqu'un ;)

aimer le goût de la bière tiède, au début détester le goût de la bière chaude, mais avec le temps, son goût devient synonyme de tant d'ivresse qu'on finit par le trouver délicieux et complexe
en pisser, en boire, en repisser, avoir le ventre gonflé comme si l'ivresse était un enfantement,
la mousse éclaboussée à chaque nouvelle ouverture de canette ou de bouteille
j'ai dû dépenser 100 000 € de bière dans ma vie !

dormir avec la radio allumée
étrange comme le cerveau éteint et allume la radio alors qu'elle reste allumée
bascule
je dors je ne l'entends plus, je me réveille je l'entends, bascule très rapide éveil-sommeil

quand dans le lit on allonge le bras pour trouver l'autre, et que l'on ne trouve rien, et que la place est vide

la liste invisible / le catalogue invisible
On connaît un éditeur par les livres qui figurent à son catalogue, mais on le connaîtrait mieux encore si l'on avait le catalogue de ses livres qui ne se sont pas faits, de ses projets de livres qui n'ont pas abouti.
Le livre de Pierre Lucerné est de ceux-ci pour Caméras Animales. 6 mois de travail, de rendez-vous de travail avec l'auteur, rassemblement et agencement de textes et d'images, combat pour trouver les financements et les aides nécessaires, mises en relation, et quand tout est prêt et qu'il n'y a plus qu'à faire la maquette, crise de l'auteur qui annule tout.
Iceberg, soubassement obscur, infini regret, Pierre Lucerné a créé un "livre invisible" chez Caméras Animales, en "cache".

je suis devenu silencieux
il faut que je me retrouve

cliquez jusqu'à ce que mort s'ensuive

un DJ, le casque vissé sur l'oreille, qui parle à la foule en langage des signes

je voudrais que l'on étouffe tous les sons qui me parviennent

je voudrais que l'on étrangle tous les sons qui me parviennent

s'endormir une cigarette allumée à la main
s'endormir en fumant
et se réveiller en flammes
en feu
carbonisé
fumé
s'endormir en fumant
et se réveiller carbonisé

tellement fatigué que je m'endors en fumée / en fumant

mon pénétromètre

un mec qui joue bien c'est quelqu'un qui arrive à se mettre dans ta tête et à prévoir tes coups

quand j'entends le mot sodomie, je sors mon revolver

quand fun et foune font bon ménage...

nous allons devenir de la puissance crue
des drogues pour les robots !

à chaque réveil je dois sortir d'un labyrinthe pour sortir de moi-même
quand je dors je me transforme en prison et pour me réveiller je dois sortir d'un labyrinthe
(constitué de mes pensées)
chaque réveil, chaque sortie du sommeil, m'est extrêmement difficile et complexe, c'est comme si je devais me sortir d'un labyrinthe composé par mes rêves, mes pensées, pour me reconnecter à l'extérieur, à l'éveil, à la réalité extérieure, au réél

J'ai remarqué qu'on rencontre parfois des gens très bien dans le noir.

mon ptit bout de femme préféré sur cette terre

humains pris dans la toile d'Internet

saoul avec les yeux
sourd avec les yeux
aveugle de l'oreille
les yeux sourds et les oreilles aveugles
les ouïes bigleuses

ce ne sont pas des écrivains, ce ne sont pas des poètes, ce sont des "fictionnaires", des fonctionnaires de la fiction

: selftrapped

après_vampiiriisme dilettante, je regarde la fonte s'efforcer en un ourlet rougeoyant.  je repense à cette dépêche sur l'abandon des mers. vers midi. et ces cinquante pour cent de l'univers. à la marge. après ces révélations, comment ne pas alors considérer avec effarement l'évident discrédit qui s'abat sur le reste de la journée ? comment ?

restes de discussions doubles ,voire n-uples ,déjà-eues .prise de notes ,isotropie des velléités ,égrenage des égarements ,militantisme chaotique pour l'abolition des cycles ...les patates sont cuites.

Troum is the old german word for "dream".


: Golgothism*In*Grey [oiling the Instabtor mix]
(original by g.Cl4renko)

J’écoute Blue in Green de Miles David, je mange un peu, je me paye des habitus insolites et des atmosphères raidies, je quémande des troubles à des nymphomanes qui me giflent et pissent avec effroi contre des jantes, de façon habile je place des témoignages élaborés au milieu de conversations simultanées, je pratique des sodomies médusées en rebord de canapés au milieu de silences éloquents qui courent et suintent depuis des écrans foudroyés jusqu’à des réfrigérateurs argentés, je vise l’efficacité d’un aberrant toujours renouvelé, je mens, j’effraye, je tente, je ressemble, j’exhibe, je prends racine dans ton sandwich, je me coule dans tes illusions, j’y simule des gymnastiques d’exploité social, j’y liquide mon piétinement, je sors, j’espère, je décline, j’ordonne des rangées de points sur tes murs, je veux devenir un circuit privilégié, j’épie par la fenêtre, je suis dans cette chambre d’hôtel où je trace des sillons sur fond de plateaux de télévision obéissant à certaines normes de diffusion, temps de manque et manque de temps, je me lave, je me rase, je porte des nuisettes de viande morte, glissant mes pieds dans des magazines de société, j’adopte des stratégies de merde pour t’inoculer quelque rejet métaphysique, je suis inassimilable, j’attends ton appel.

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J’exerce un contrôle politique sur mes ordures, je satellise mes excréments, je sniffe des substances odoriférantes, je flaire ta bouche ouverte en tremblant, je griffonne des fins d’histoires, je construis des déclins élabore des arguments frustrants, je fourmille de blessés qui meurent en masse, je dis des choses pédagogiques au sujet de la lune et de son potentiel à geler, je fais crédit à des vaincus, je flaire ta bouche ouverte en tremblant, je garde mes distances, je montre du doigt ta prison, un banal sport mécanique, je me pose plein de questions, je fais des victimes par centaines, j’écris des chansons, je prodigue des émotions à des surfaces polies, je n’ai plus franchement de raison, j’attends ton appel.

Vue Annexe : Bastien Bogue

ce n'est que bien plus tard que j'ai compris qu'il s'agissait de Bastien B. je suis tombé sur ses notes, incidemment. et donc sur l'explication de l'épisode à la 8.6. entre autres. je ne suis pas sans savoir combien tout cela n'est pas raisonnable, mais je compte revenir là-dessus, rendre d'une certaine manière hommage à Bastien B. ça aura au moins le mérite de m'occuper, de me changer les idées. elles sont plutôt accaparées par la recherche de ce putain de local. je dois aussi écrire un papier, une sorte de truc inaugural, un manifeste d'intendance (ouais). ça me fait chier de déjà devoir tirer des traits – j'aime pas l'emphase. alors pour me détendre, je vais parler de Bastien B., relater son journal – un truc littéralement psychédélique à vrai dire.

arf, d'ailleurs.

Bastien B. habitait dans mon immeuble.


j'entends des gens, dans la mue. ils ne savent toujours pas pour invidation. on existe, déjà plus, on recommence, n'existe, puis plus, à nouveau, sans cesse, on existe, on tue, on recommence, n'existe, puis plus, à nouveau, on recommence, on existe, déjà plus, on recommence, existe, pas, à nouveau, sans cesse, on existe, on n'existe plus, on recommence, n'existe, on existe plus, à nouveau, on recommence, on existe, déjà plus, on recommence, n'existe, on tue, à nouveau, encore, on essaie d'être, déjà plus, on réitère, on existe, puis plus, à nouveau, sans cesse. électrolyse-moi, chuchotait la lumière. c'est la psychologie du cervelet, la dichotomie autechre/godflesh, le scattering de la caféine ,zones appauvries Vs. grappes, c'est :moi :le ciel effacé :rien
on attend tous quelque chose de la statistique



Aujourd’hui il fait moins chaud, le ciel est couleur craie et je m’assois sur un bidon rouillé dans ce terrain vague pas loin de mon hôtel. Comme d’habitude, machinalement, je tâte mes poches puis me souviens que je ne peux plus fumer. Plus boire non plus. Je n’ai plus tellement d’alternatives et la douleur reste cuisante. Ça ne passe pas. Je suis tout seul, avec ce paquet de feuilles dans la main – que m’a filé hier Jhonn – étonné que je croupisse toujours dans le même hôtel pisseux en bordure de Paris. Je ne comprends pas bien pourquoi Jhonn a pris ce pseudonyme étrange.
Hier j’ai emprunté des trajets sinueux, presque lunaires, dans la ville. J’avais envie de frapper aux loges des concierges. Je louchais brusquement sur les stores et les parasols, habités de bruits anormaux et sinistres, dans ces quartiers de Paris anti-hygiéniques au possible.

Je suis entré par la porte principale dans le manuscrit de Jhonn qui ressemble à s’y méprendre à une maison de santé – surtout les premières pages. Après le flux devient plus commode. J’essuie des gouttes de sueur. Combien de temps je vais rester caché ainsi. Cette solitude m’obsède. Il vaut mieux apprendre la tchatche aux enfants, plutôt que de récolter des bons points. Les bons points vous mènent dans les terrains vagues. Dans la maison de santé de Jhonn, il y a des figures rouges, impalpables, prêtes à se refermer au moindre mot. Assises contre des murs blancs. Sans assurance et grotesques. Interloquées dans leur obscurité.

En face du terrain vague, il y a un Café et un fourgon de police. Des gitans crient. Des gamins jouent au foot dans la ruelle déserte. Le médecin m’avait parlé de blessure et de hasard, et je lui avais répondu que c’était ainsi que tout se termine. Par quelques paroles aimables jugeant des effets produits. Chez certains du moins. Parce que pour d’autres, c’est les terrains vagues. Des destinations brillantes, pliées en deux.

rekkit 2008 (rappel) :



(L'innocence recherche la rime).



ALL YOU NEED IS REKKIT.


louche : Bastien + 8.6




Une nuit inouïe
Ravissante et lumineuse
Radieuse et inachevée
Scotché sur le sol de ma cuisine
OPPRESSÉ PAR UNE PENSÉE
FRAPPÉ PAR UNE ROMANCE
ALIÉNÉ SUR MES GENOUX
CAUSANT GAIEMENT AVEC LE MUR
CLOUÉ PAR LE BONHEUR
D’UN OISEAU SUR MA FENÊTRE
AU REGARD AIGRE
SANS CESSE AGITÉ DE PRODUITS CHIMIQUES

UN MOT ÉCHAPPÉ
QUE JE FAIS SAUTER SUR MES ÉPAULES.

Cœur.



(Il faut que je me tue).



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